La Compagnie
La compagnie voyages d’hiver ce sont des collaborations,
des complicités et des fidélités
qui se tissent au fil des créations.
Charlotte Clamens
Est formée à l’école de Chaillot Antoine Vitez puis est engagée à la sortie de l’école par Vitez dans Electre en 1986.
Elle travaille ensuite au théâtre avec Alain Françon, Tilly, Marcel Bozonnet, Caroline Marcadé, Jean François Sivadier, Laurent Pelly, Yann Joël Colin, Lambert Wilson, Marc Paquien et plus récemment avec Christoph Marthaler , Peeping Tom, Tommy Milliot, Robert Cantarella.
Au cinéma avec Philippe Garrel, Jean Pierre Sentier, Solveig Anspach, Tilly, Philippe Lioret, Christian Vincent, Patrick Mario Bernard et pierre Trividic, Jérôme Bonnel, Alice Diop,…
En pédagogie elle intervient dans plusieurs écoles supérieures : Erac, Ensad Montpellier, EPSAD Lille, Manufacture Lausanne, Conservatoire Royal Liège et stage avec les chantiers nomades à Orléans.
Mina Kavani
Mina Kavani est née à Téhéran dans une famille d’artistes. À 22 ans elle s’installe à Paris et entre au CNSAD dans la classe de Jean-Damien Barbin.
En 2015, elle joue au cinéma le rôle principal de Sara, dans Red Rose de Sepideh Farsi. Apparaissant nue dans le film, elle est la cible d’attaques virulentes dans la presse iranienne et qualifiée de «1ère actrice pornographique », ce qui lui vaudra son exil. Depuis elle continue sa carrière d’actrice en France.
Rejoignant une autre figure de l’exil, elle incarne Ingeborg Bachmann à la Maison de la poésie et au centre Européen de la poésie d’Avignon sous la direction de Barbara Hutt. Elle participe à un stage avec Krystian Lupa qu’elle retrouvera en 2019 pour un nouveau travail en commun. Ella a joué au London Symphony orchestra de Londres sous la direction de Amir Konjani
Elle joue également dans Neige de Pamuk au TNS.
Au théâtre, on la retrouve récemment dans le spectacle Les Forteresses de Gurshad Shahman (présenté notamment à la MC93 de Bobigny).
Elle a également jouée dans la création polyphonique Persées d’Alexandra Lacroix, Opéra de Limoges, et dans Lazare Station de Lazare.
Au cinéma, on retrouve Mina Kavani dans le dernier film No Bears du grand cinéaste iranien Jafar Panahi, Prix Spécial du Jury à La Mostra de Venise 2022.
Elle fait la voix du rôle principal dans le film d’animation La Sirène de Sepideh Farsi, sélectionné au Festival de Berlin 2023 . Mina Kavani crée en 2022 son premier spectacle I’M DERANGED, qu’elle écrit, met en scène et interprète.
Elle a joué tout récemment dans le film Reading Lolita in Teheran du réalisateur israëlien Eran Riklis. On la verra cette année dans le rôle principal de la série du réalisateur anglais Colin Teague Embassy 87.
En 2024 Mina Kavani fait partie du jury de L’OEIL D’OR présidé par Nicolas Philibert au festival de Cannes.
Judith Morisseau
Judith Morisseau a été formée à l’Ensatt de Lyon, puis à l’école du Théâtre national de
Strasbourg où elle travaille avec Stéphane Braunschweig, Gildas Millin, Claude Duparfait, Daniel Znyk…
Après l’école, elle a travaillé plusieurs fois avec Judith Depaule, Aurelia Guillet, Julie Brochen, Christian Benedetti, le Collectif du 7 au Soir, Célie Pauthe. Dernièrement on a pu la voir dans un spectacle de Tiphaine Raffier.
A la télévision , elle joue en 2010 dans Le Reste du monde, réalisé par Damien Odoul, et une adaptation de la Cerisaie d ‘Alexandre Gavras.
Au cinéma, elle a participé comme assistante et actrice à un documentaire fiction avec Emmanuelle Demoris, Le Voyage au lac. A la radio, elle travaille régulièrement avec Christophe Hocké.
Mounir Margoum
Diplômé du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique, Mounir Margoum commence sa carrière professionnelle avec Titus Andronicus, mise en scène par Lukas Hemleb. Il interprète avec une même aisance des oeuvres classiques de Racine et de Tchekhov, et des pièces contemporaines comme Le Torticolis de la girafe de Carine Lacroix, ou J’aurais voulu être égyptien d’Alaa El Aswany.
Il travaille notamment avec Jean-Louis Martinelli (Les Sacrifiés, Une Virée, Bérénice, Les Fiancés de Loches au Théâtre des Amandiers), Arthur Nauzyciel (La Mouette de Tchekhov, dans la Cour d’honneur d’Avignon, La Dame aux camélias, et récemment Les Paravents, de Jean Genet), Laurent Fréchuret (A Portée de crachats), Laurent Pelly (L’Oiseau vert, La Cantatrice chauve) ou Nicolas Stemann (Nathan le sage, Meursault). Il a participé à la création de Bajazet, en considérant le Théâtre et la peste mis en scène par Frank Castorf.
À l’écran, on le voit dans des productions anglo-saxonnes, telles Rendition de Gavin Hood (Oscar du meilleur film étranger 2006), ou House of Saddam. Il joue également dans Divines, de Uda Benyamina, caméra d’or au Festival de Cannes 2016, Hitman’s Bodyguard de P. Hugues, Timgad de F. Benchaouche (2017), Jalouse de D. et S. Foenkinos et Merveilles à Montfermeil de J. Balibar en 2018, Les Exfiltrés de E. Hamon en 2019. Il a réalisé lui-même des courts métrages Hollywood Inch’Allah et Roméo et Juliette. Il était Antiochus dans Bérénice de Racine en 2018, et Antoine dans Antoine et Cléopâtre, mis en scène par Célie Pauthe en 2020.
Violaine Schwartz
Formée à l’école du Théâtre National de Strasbourg, puis ayant suivi une formation de chanteuse, Violaine Schwartz fait du théâtre depuis 1990.
Elle a notamment travaillé sous la direction de Georges Aperghis, Alain Ollivier, Jacques Lassalle, Ludovic Lagarde, Gilberte Tsaï, Charles Tordjman, Frédéric Fisbach, Jean Philippe Vidal, Ingrid von Wantoch Rekowsky, Jean Lacornerie, Jean Boilot, Dominique Pifarély, Etienne Pommeret, et ces dernières années avec Célie Pauthe, Pierre Baux, Irène Bonnaud, Guillaume Delaveau et Côme de Bellescize.
Elle a créé un tour de chant autour du répertoire réaliste, en duo avec la contrebassiste Hélène Labarrière et enregistré un disque avec le label Innacor : « J’ai le cafard. »
En qualité d’autrice, elle est publiée aux éditions P.O.L depuis 2010.
Elle a écrit trois romans, La tête en arrière (P.O.L. 2010), Le vent dans la bouche (P.O.L.2013. Prix Eugène Dabit du roman populiste) et Une forêt dans la tête (P.O.L.2021), deux pièces de théâtre : Comment on freine ? Suivi de Tableaux de Weil (P.O.L.2015) et J’empêche, peur du chat, que mon moineau ne sorte (P.O.L.2017), ainsi qu’un recueil de récits intitulé Papiers (P.O.L.2019), sorti aux USA dans une traduction de Christine Gutman, et Les contes : un genre de traduction des Contes de Grimm (P.O.L 2023), travail pour lequel elle a bénéficié d’une résidence d’écriture à la Fondation Jan Michalski.
Elle est également publiée aux Solitaires Intempestifs, en 2013, avec IO 467.
Par ailleurs, elle a écrit des textes non publiés, soit des écritures-plateau, soit des textes de commande. Trois pièces avec la chorégraphe Cécile Loyer, L’hippocampe mais l’hipoccampe, pour le festival Concordan(s)e 2014, 4X100 mètres, créé à Dieppe en mars 2019 et repris en tournée en 2019-2020 et Et donc ! en tournée actuellement.
De l’une à l’hôte, pour le festival in d’Avignon 2021 (Dans le cadre de Vive le sujet), un spectacle mis en scène par Pierre Baux qu’elle joue avec l’acrobate argentine Victoria Belén.
Jingle, une pièce pour une voix, un quatuor, dix bandes magnétiques et un grille-pain, créée par Sandrine Anglade, en 2020, et Le Nombril du monde, pour Binôme, 12ème édition, en tournée actuellement.
Et dernièrement, Radio Sherwood, d’après l’histoire de Robin des bois, un concert- fiction pour La Balise, la radio de la Philharmonie de Paris, réalisé par Sabine Zovighian.
Pour la radio, elle a écrit trois pièces radiophoniques, réalisées par France Culture.
Elle a été une des voix Des papous dans la tête depuis 2010 jusqu’à la fin de l’émission de France Culture, en 2018.
Elle anime régulièrement des ateliers d’écriture ou de lecture à voix haute, organisés par La Maison des Ecrivains et de la Littérature (Nouvelles du futur. L’ami littéraire. Le temps des écrivains. Leçons de littérature.)
Depuis 2020, avec La Maison de la Poésie, elle mène un atelier d’écriture, à destination des femmes hébergées à la Halte-Femmes, à l’hôtel de Ville, de Paris.
Elle a été artiste associée au CDN de Besançon, en qualité d’autrice, de 2017 à 2019. Elle y a dirigé des ateliers d’écriture et de théâtre à destination des élèves du DEUST- théâtre de l’université de Franche-Comté. Elle a écrit pour eux le spectacle Je suis d’ailleurs et d’ici, qu’elle a également mis en scène au CDN de Besançon.
Elle a mené pendant trois ans une résidence sur une plateforme numérique avec la métropole de Lyon et les Assises Internationales du Roman, avec dix classes de collèges : laclasse.com.
Elle a obtenu trois résidences d’écriture de la région Ile de France et une de la Fondation Jan Michalski.
Elle a fondé en 2020 un festival de théâtre, qu’elle codirige avec Pierre Baux, le Festival 543 situé à Coustouges, dans les Pyrénées Orientales.
Pierre Baux
Formé au cours Raymond Girard, il est également auditeur au conservatoire national d’art dramatique de Paris, dans la classe de Michel Bouquet, puis il suit les stages de Jean Gilibert au théâtre du Campagnol, Christian Schiaretti à la Comédie de Reims et Georges Aperghis au théâtre des Amandiers, à Nanterre.
Comme acteur, il travaille sous la direction de Brigitte Caracache, Jean Danet, Jean Davy, Jacques Mauclair, Odile Mallet, Pierre Meyrand, Jeanne Champagne, Ludovic Lagarde, Slimane Benaïssa, Jacques Nichet, Eric Vignier, Frédéric Fisbach, Gilles Zaepffel, Jacques Rebotier, François Veyret, Violaine Schwartz, Célie Pauthe, Matthieu Bauer, Antoine Caubet, Jonathan Chatel, Arthur Nauzyciel et Rémy Barchet.
Il est acteur associé à La Comédie de Reims sous la direction de Ludovic Lagarde durant quatre années, au cours desquelles il joue dans toutes ses créations. Il anime des ateliers, intervient en milieu scolaire et participe au Festival Reims Scène d’Europe, en travaillant avec des metteurs en scène européens, tels que Mikaël Serre ou Thomas Ostermeier.
Il développe, dès les années 2000, un travail musical et théâtral avec Dominique Pifarély, puis avec François Couturier, John Greaves, François Corneloup, Stephan Oliva, Robin Fincker, Daniel Herman, Rodolphe Burger, Benjamin Sanz, Nicolas Angelich avec l’Ircam sous la direction de Michel Tabachnik, Maxime Pascal et Arthur Lavandier au sein de l’opéra de Rouen, Benjamin Dupé au sein de L’Ircam, et plus récemment Dominique Mahu et Louis Sclavis.
Depuis plus de vingt ans, il développe, en duo avec le violoncelliste Vincent Courtois, un répertoire multiple, autour du rapport texte-musique, abordant presque chaque année un auteur différent, dont l’intégrale des Contes de Grimm, Roald Dahl, Le Décaméron, Raymond Carver, Frédéric Boyer, Dino Buzzati, le Kâmasûtra, Les écrits rock, Jack London et Georges Perros.
Il multiplie avec ce musicien des master-class, des stages de formation et des interventions en milieu scolaire, associatif, et en maisons d’arrêt.
En collaboration avec le compositeur Georges Aperghis, il monte un concert-vocal Zig band parade.
Il tourne pour le cinéma sous la direction de Catherine Corsini, Philippe Faucon, Cédric Khan, Pierre Jolivet, Eric Rochant, Pascal Cervo.
Il joue à la télévision pour Bénédicte Brunet, Aline Issermann et dans plusieurs séries telles que Avocats et Associés, Les Bleus, ou Le Village Français.
Par ailleurs, il enregistre en synchronisation le dessin animé Capitaine Planète avec Micheline Dax et Roland Giraud et de nombreux films de cinéma tels que Full Métal Jacket, Breaking the Waves, Transpotting, Infernals Affairs, Full Mounty.
Comme metteur en scène, il créé Comment une Figue de paroles et pourquoi, de Francis Ponge (Théâtre de la Cité Internationale, Théâtre Gérard Philipe de Saint Denis et en tournée internationale. Rosalie au Carré d’après Jacques Rebotier et Le Passage des heures de Fernando Pessoa, en collaboration avec le violoniste Dominique Pifarély (Les Subsistances, à Lyon). Il met en scène et joue Le Jardin secret d’après Souvenirs et solitude de Jean Zay. En co-mise en scène avec Violaine Schwartz, il monte et joue une adaptation de son roman Le Vent dans la bouche. Il conçoit et joue Congrès, une série de conférences de Francis Ponge, John Cage, Federico Garcìa Lorca et Frédéric Boyer à l’Atelier du Plateau et à la Maison de la Poésie.
Il fonde avec Célie Pauthe et Violaine Schwartz la compagnie IRAKLI, au sein de laquelle il joue dans Quartett de Heiner Muller et L’ignorant et le fou de Thomas Bernhard, mis en scène par Célie Pauthe.
En 2020, il fonde avec Antoine Caubet et Violaine Schwartz le Festival 543, dans les Pyrénées Orientales, où il joue et met en scène Papiers de Violaine Schwartz, Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, Homme et galant homme d’E. de Filippo, Le Suicidé de N. Erdman, Variations autour de quelqu’un d’après Michaux, La Sinfionetta du Professeur Froeppel de J. Tardieu, L’Augmentation de G. Perec, Comme des bêtes, de V. Bérot, Froeppel’s Band, d’après C. Tarkos, G.Luca et P. Desproges et Rouge ou mort, de D. Peace, avec la troupe du festival, mêlant professionnels et amateurs de la région.
Aline Loustalot
Formée aux métiers du son et de la vidéo, après avoir tenu le poste de régisseur son au Théâtre National de Toulouse et au Festival d’Avignon, elle a participé à la création sonore, parfois vidéo, de nombreuses pièces mises en scène par Célie Pauthe telles Yukonstyle de Sarah Berthiaume, La Bête dans la jungle de Henry James, La Fonction Ravel de Claude Duparfait, Un amour impossible de Christine Angot et Bérénice de Racine, Antoine et Cléopâtre de W. Shakespeare. Elle travaille notamment avec Bérangère Vantusso (Le Rève d’Anna de Eddy Pallaro), Jacques Nichet (Braise et Cendres de Blaise Cendrars) et d’autres metteurs en scène.
Sébastien Michaud
Diplômé de l’École Nationale Supérieure d’Art et Technique du Théâtre en 1993, Sébastien Michaud réalise depuis 1999, les lumières des spectacles de Ludovic Lagarde à l’opéra et au théâtre, entre autres pour les textes d’Olivier Cadiot. On peut citer leurs plus récentes collaborations Quai ouest de Bernard-Marie Koltès (2020), Sur la voie royale d’Elfriede Jelinek (2021), Médecine générale d’Olivier Cadiot (2023). La Voix humaine opéra adapté de Jean Cocteau musique de Francis Poulenc (2013) et Marta de Wolfgang Mitterer (2016).
Il a par ailleurs notamment travaillé, lumières et scénographies sur des créations de Siegrid Alnoy Le Rêve d’un homme ridicule de Dostoïevski (2006), Aurélia Guillet La Maison brûlée de Strindberg (2007), Mikaël Serre La Mouette de A. Tchekhov (2011) et Les Enfants du Soleil de M. Gorki (2013), Les Brigands de F. von Schiller (2020), Vertige de et mis en scène par Guillaume Vincent. En 2015, il réalise les lumières de l’exposition Pierre Boulez à la Philharmonie de Paris. Il collabore très régulièrement avec Célie Pauthe : L’Ignorant et le fou de Thomas Bernhard (2006), la scénographie et les lumières de La Fin du commencement de Sean O’casey (2007) et de S’agite et se pavane d’Ingmar Bergman (2008), les lumières des spectacles La Bête dans la jungle d’Henry James suivie de La Maladie de la mort de Marguerite Duras (2015), La Fonction Ravel de Claude Duparfait, mise en scène Claude Duparfait et Célie Pauthe (2016), Un amour impossible de Christine Angot (2017) Antoine et Cléopâtre de W. Shakespeare (2021) L’Annonce faite à Marie musique Philippe Leroux (2022).
Anaïs Romand
Après avoir travaillé comme assistante costumes de Franca Squarciapino pour le théâtre et l’opéra, signe depuis 1993 les costumes de nombreux films avec entre autres les réalisateurs Jacques Doillon, Olivier Assayas, Benoit Jacquot, Catherine Breillat, Bertrand Bonello, Stéphanie Di Giusto, Guillaume Nicloux, Xavier Beauvois, Emmanuel Finkiel, Pierre Schoeller.
Au théâtre travaille régulièrement avec Pascal Rambert ainsi qu’avec Denis Podalydès, Stanislas Nordey, et Célie Pauthe.
Avec 7 nominations remporte 3 fois le César des meilleurs costumes.
François Weber
François Weber est réalisateur son et/ou image depuis bientôt 30 ans. De la jeune compagnie aux théâtres nationaux, en France comme à l’étranger, il a eu l’occasion de participer à de nombreux projets dans des cadres très différents. Si la création occupe la majeure partie de son emploi du temps, sa passion pour le théâtre, sa maîtrise des outils technologiques l’ont conduit vers la formation et la recherche. Enseignant à l’ENSATT ou collaborateur à des projets de recherche (Virage, OSSIA), c’est son grand intérêt pour la scène, la dramaturgie et la scénographie qui le guide à travers toutes ces expériences.
Denis Loubaton
Comédien, il travaille avec de nombreux metteurs en scènes : Marc Berman, Alain Ollivier, Eloi Recoing, Robert Cantarella, Ghislaine Drahy, Romain Bonin, Célie Pauthe et Sylvain Maurice. Danseur, il travaille avec Odile Duboc durant sept ans puis avec Mourad Béleskir. Il devient le collaborateur artistique de Sylvain Maurice, et travaille avec Anna Nozière et Jean Philippe Vidal pour plusieurs spectacles.
En 2011, il commence son compagnonnage avec Célie Pauthe avec Le Long Voyage du jour à la nuit d’Eugène O’Neill. Il a cosigné, avec Anne-Françoise Benhamou, la mise en scène de Sallinger de Bernard-Marie Koltès, mis en scène Que dans le même instant, d’après Le Misanthrope de Molière, et Séparation(s), d’après Clôture de l’amour de Pascal Rambert.
Le Bureau
Anita Le Van Présidente
Anne-Françoise Benhamou Vice-Présidente
Julie Rivière Trésorière
Chantal Regairaz Secrétaire